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Seul au milieu de la multitude

Que dire d'un homme qui aime les hommes, ... Et puis vous allez me découvrire au fur et à mesure de mes posts

mare, mare, et mare

                Cette solitude me pèse, quand je rentre le soir et étant seul je mange ainsi, j'essai de me distraire l'esprit mais au bon d'un moment, je me sens pas bien. C'est différent par rapport au moment ou je vivais avec Jérôme, là les quelques instants de solitude que l'on pouvais avoir permettait de mieux nous retrouvez ensemble, en tout cas c'est ainsi que moi je le ressentait. C'est différent maintenant, cette solitude et se manque de contact avec quelqu'un d'autre, je le sent bien, et j'ai de plus en plus de difficulté pour tenir mon équilibre, resté à flot est de plus en plus difficile.

                Chaque instant ou je peut être avec quelqu'un je le prend quand cela ce présente, mais cela replacera jamais le faite de sentir l'amour qu'un homme à pour soit, ses mots doux, ses caresses, nos échanges, nos actes d'amours de l'un vers l'autre (en écrivant ces mots j'ai des larmes qui me viennent). Pour résoudre ceci, je sais que s'est très simple allez vers les autres, mais à chaque fois que je veux le faire il y a quelque choses qui me retient, je suis alors bloqué, et je suis là, à attendre je ne sais quoi. C'est très rare les fois ou je put outrepassé cette crainte, cet timidité d'allez vers les autres, qui m'étouffe de plus en plus (je me demande combien de temps encore je vais tenir).

                le repas de ce mercredi avec Cédric, m'a apporté une bouffé d'air et ce lundi un collègue au technique ma invité à passé a partir de 14h pour joué à la WII pendant 1 à 2 heures cela aussi sera une bouffé d'air. Je veux plus, je veux tenir un homme dans mes bras et qui fera de même, je veux embrasse à pleine bouche celui-ci, le caressé et être caressé, échangé des mots doux, des câlins coquin ou non, avoir des sorties en amoureux, de douce nuits etc.

                Cela fais quinze mois que personne ne ma touché de cette façon, la dernière fois c'était avec Jérôme, mes amis Patrick et André mon bien fait des hugs (accolades) et ainsi dans leurs bras pendant quelque secondes cela à été un réconfort. Mes muscles du dos se noue de plus en plus depuis maintenant un certain temps, au point ou j'ai régulièrement mal en un point de crispation dans le dos.

                Parallèlement, je sais que cela vas mieux sur d'autres points, sur d'autres perceptions, façon de voir, malgré ce gros point noir, qui est tel une épine planté sous le pieds, qui m'empêcherais de marché correctement, et que je suis incapable, à l'heure actuel, d'extraire.

                Ce soir et ce dimanche je devais gardé ma nièce mais mon frère à modifier ses plans hier soir, donc je suis libre de mes mouvements ce weekend, sauf ce dimanche soir ou je dois allez cherché mes parents à la gare à 23h40. Malgré cela j'est rien prévu en sortie, de toute façon le compte en banque ne s'y prête pas surtout après avoir craqué pour me faire plaisir se mois ci, il vas falloir encore pioché des les réserves ce mois (ceci est dehors de mes habitudes). Je suis vraiment en train d'essayer compensé quelque part.

 

A Bientôt

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J
<br /> Salut JC,<br /> je le vois tous les jours ton mal être surtout depuis ton retour de vacances, mais je pense que sur certain point (professionnellement) tu pendra les décisions qui s'impose pour toi. Et le peu de<br /> chose qui te seront bénéfique te feront avancé, et aller mieux dans ta vie. Et tu sais, un ajout de petite chose remonte le moral et apporte a la fin une grosse chose. Et tu verra que tu arrivera<br /> plus facilement a allé vers les gens (tu le fais bien au mag) et bien sur a te trouver quelqu'un.<br /> <br /> <br />
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J
<br /> Je sais que mon mal être au magasin depuis mon retour que vacance ce perçois de plus en plus.<br /> <br /> Quand au faite d'allé vers les gens comme au magasin, c'est différent l'approche le sujet et la façon de faire son différentes.<br /> <br /> Et oui il y aura de nouveau quelqu'un dans ma vie<br /> <br /> A Plus<br /> Jean-Claude<br /> <br /> <br />
A
<br /> Tu as dit " Pour résoudre ceci, je sais que s'est très simple allez vers les autres, mais à chaque fois que je veux le faire il y a quelque choses qui me retient, je suis alors bloqué, et je suis<br /> là, à attendre je ne sais quoi. C'est très rare les fois ou je put outrepassé cette crainte, cet timidité d'allez vers les autres, qui m'étouffe de plus en plus (je me demande combien de temps<br /> encore je vais tenir)"<br /> <br /> Non, JC, ce n'est pas simple du tout ! La peur on ne la gère pas complètement, pas au début quand on comprend vaguement, et c'est déjà pas mal, qu'il s'agit, justement, de peur !<br /> La peur rejoue quelque chose de "traumatique" en toi (on parle de mémoire traumatique de l'enfance par exemple : Tout le monde en a une ! Sourire ), de suffisamment fort pour te paralyser.<br /> Et il y a forcément une raison à ce blocage ! C'est avec ça que tu dois en découdre, apparemment, pour que ça te fiche la paix...<br /> <br /> Cette " peur " prendra plusieurs apparences, angoisse ou démotivation, ou dévalorisation, etc...<br /> Pour s'autoprotéger de ce que nous ne connaissons pas, de ce qui est inhabituel et donc, facteur de danger potentiel, la peur est un remède que nous maitrisons à défaut d'autre solution, mais pas<br /> suffisamment pour nous en débarrasser...<br /> <br /> En prendre conscience, c'est déjà beaucoup et c'est bien. Il y a des étapes.<br /> <br /> Prends soin de toi.<br /> <br /> A la limite, sois un peu fataliste... Tant pis pour le moment... Quant à cette douleur. Écris là, c'est très bien de l'exprimer...<br /> <br /> Tu fais des petits pas, mais tu progresses !<br /> <br /> Je ne suis pas médecin, mais je crois savoir par où tu passes.<br /> <br /> Bien amicalement.<br /> Val<br /> <br /> <br />
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J
<br /> L'acte pour résoudre dans l'absolu le problème peut paraitre simple, mais sa réalisation elle est difficile.<br /> <br /> je connais pas l'origine du blocage, qu'il est des crainte lorsque l'on vas vers l'inconnue cela est normal et participe au faite d'être prudent et à augmenté la vigilance. Mais elle devrais pas<br /> provoqué effectivement ce type de blocage.<br /> <br /> Merci pour tes encouragement<br /> Bisous<br /> Jean-Claude<br /> <br /> <br />
O
<br /> Cher Jean-Claude,<br /> Ta plainte me bouleverse car je me reconnais dans ta solitude, ton manque et ta timidité...Moi non plus je ne sais pas comment faire pour rencontrer celle que j'espère...Mais l'Amour vient parfois<br /> quand on cesse de l'attendre?<br /> Garde courage et espoir!<br /> <br /> Je t'embrasse<br /> Ondine<br /> <br /> <br />
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J
<br /> Oui Ondine, à lire tes posts et comm je le vois bien.<br /> <br /> Quand à l'Amour il faut sortir de l'attente et être plus dans l'instant alors il se présentera peut-être<br /> <br /> Je t'embrasse<br /> Jean-Claude<br /> <br /> <br />
S
<br /> Tu sais JC,ce probleme de contact avec les autres,comme tu le dis,il n'y a que toi qui peu le résoudre...<br /> <br /> Je sais que c'est facile a dire mais il faut te forcer d'aller vers les autres,il y a tellement de moyens pour rencontrer des garçons<br /> <br /> Je ne suis pas pour ce genre de contacts car je suis un romantique mais je pense qu'une ou deux relations de passage te ferais du bien dans un premier temps l'histoire de lacher un peu trop de<br /> préssion (surtout protege toi si tu le fait!!)<br /> <br /> Bref,au fond de toi tu sais ce qui est le mieux pour ton équilibre après tu écoute ou non les conseils plus ou moins bons que l'on te donnes<br /> <br /> je t'embrasse JC<br /> <br /> Sébastien<br /> <br /> <br />
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J
<br /> Je sais Sébastien qu'il y a que moi qui puisse résoudre ce problème, à force que cela me soit répété ça finira bien par rentré dans ma petite tête.<br /> <br /> Il me semble savoir à quel point tu est romantique (et jaloux), si je me réfère aux discussions que l'on à eu sur clear et msn.<br /> <br /> Quand au conseil j'essais d'en faire la par des choses et de les adaptés à qui je suis, même si cela présente des difficultés<br /> <br /> Je t'embrasse Sébastien<br /> Jean-Claude<br /> <br /> <br />
A
<br /> Bonjour Jean-Claude...voici un message du coeur...baisers de l'âme...André<br /> A méditer .....<br /> <br /> L'écrivain colombien, né en 1928, auteur de « Cent ans de Solitude » et de « l'Automne du patriarche », prix Nobel de littérature en 1982 est en train de mourir. Il a envoyé à ses amis cet ultime,<br /> magnifique texte. Une exhortation à vivre et à aimer.<br /> "Si, durant un instant, Dieu daignait oublier que je suis une poupée de chiffon et me faisait cadeau d'un bout de vie, il est fort probable que je ne dirais pas tout ce que je pense, mais penserais<br /> certainement tout ce que je dis. J'accorderais de la valeur aux choses, non pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles signifient. Je dormirais peu, rêverais plus ; j'ai compris que pour chaque<br /> minute où nous fermons les yeux, nous perdons soixante secondes de lumière. Je marcherais lorsque les autres s'arrêtent, me réveillerais lorsque les autres dorment. J'écouterais lorsque les autres<br /> parlent et... combien je savourerais une bonne glace au chocolat ! Si Dieu me faisait présent d'un bout de vie, je me vêtirais simplement, m'étalerais à plat ventre au soleil, en laissant non<br /> seulement mon corps à découvert, mais aussi mon âme. Bon Dieu, si j'avais un cœur, j'écrirais ma haine sur la glace et attendrais que le soleil se lève. Dans un rêve de VAN GOGH, je peindrais sur<br /> les étoiles un poème de BENEDETTI et une chanson de SERRAT serait la sérénade que je dédierais à la lune. J'arroserais de mes larmes les roses, afin de sentir la douleur de leurs épines et le<br /> baiser incarnat de leurs pétales. Bon Dieu, si j'avais un bout de vie... Je ne laisserais pas un seul jour se terminer sans dire aux gens que je les aime, que je les aime. Je persuaderais toute<br /> femme ou homme qu'ils sont mes préférés et vivrais amoureux de l'amour. Aux hommes, je prouverais combien ils sont dans l'erreur de penser qu'ils ne tombent plus amoureux en vieillissant, sans<br /> savoir qu'ils vieillissent en ne tombant plus amoureux. A un enfant, je donnerais des ailes, mais ferais en sorte qu'il apprenne tout seul à voler. Aux anciens, j'apprendrais que la mort ne vient<br /> pas avec la vieillesse, mais avec l'oubli. J'ai appris tellement de choses de vous autres, les humains... J'ai appris que tous veulent vivre sur le sommet de la montagne, sans savoir que<br /> l'authentique joie se trouve dans la manière dont on gravit le sentier escarpé. J'ai appris que lorsqu'un nouveau né serre avec son petit poing, pour la première fois, le doigt de son père, il l'a<br /> attrapé pour toujours. J'ai appris qu'un homme a le droit de regarder un autre d'en haut seulement lorsqu'il va l'aider à se mettre debout. Il y a tellement de choses que j'ai pu apprendre de vous<br /> autres... Mais en fait, elles ne serviront pas à grande chose, car lorsque l'on devra me ranger dans cette petite valise, malheureusement, je serai mort.<br /> <br /> Gabriel Garcia Marquez Traduction : Marie ESTRIPEAUT-BOURJAC<br /> <br /> <br />
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