Le temps assoiffé

Quelques vers de prose écrit en ce début de mois :

Le temps étanche sa soif au cœur de ma vie

Esseulé il profite de puisé au sein de mes ressources

Ou passe mes sources de force vital

Je ne sais où je vais pouvoir me ressourcé

Ou est l'épaule ? ou je puis posé ma tête

Ou sont les bras ? qui me tiendront

Ou est celui ? qui sur mes épaule posera sa tête

Ou est celui ? que je teindrai dans mes bras

Oui la vie peut parfois être cruel, nous laissant que face à nous même.

Elle nous cache notre être sœur avec qui nous pourrions resplendir tel un soleil.

©Jean-Claude

A Bientôt

Comments

[Niko]

Salut JC
Pas évidant de bien trouver son équilibre dans une vie un peu solitaire, mais pourtant certain y arrivent mieux que d'autres!

J'ai cherché fut un temps a avoir un compagnon, que j'aimerais et qui en ferait tout autant à part égale!

J'en suis revu blessé et même dégouté des hommes.

Aujourd'hui je prends ce qui est bon a prendre, je ne dis pas que j'ai raison dans ma façon de faire, je sais simplement qe je vie beaucoup mieux comme ça aujourd'hui

Bises

Niko

[Jean-Claude]

Je suis de ceux qui aborde la solitude du coeur, même si 90% de mon existence à été composé de solitude amoureuse.

Il est dit que l'amour est une choses qui n'est pas partagé équitablement, or il l'est. Dans une relation, je pense qu'attendre de l'autre qu'il fasse exactement la moitié des actions est utopique,
car chacun fais en fonction de ses possibilités et de ses capacités, le tout est de trouvé un équilibre.

Tu as trouvé un équilibre qui te convient c'est très bien, moi je refuse la solitude de longue allène cela à été déjà trop expérimenté autrefois.

Bisous
Jean-Claude

[philippe]

Jean-Claude, ceci est un très beau texte.
La vie nous laisse parfois face à nous même, je pense que celà est parfois nécessaire pour se (re)trouver, se construire sur de meilleurs bases, même si celà est dure et long (je parle
d'expérience), mais au bout tu sera beaucoup plus fort intérieurement et surtout tu saura enfin ce que tu désires et surtout ce que tu ne veux plus faire où subir.
Je te souhaites un bon week-end.

Kissou.

[Jean-Claude]

Merci Philippe,
J'ai simplement envie que cette période de transition ou s'étiole les jours de ma vie, soit plus courte que le temps que j'ai mis avant de commencé à vivre, car j'aurais alors dépassé
l'espérance de vie moyenne d'un homme.
Et j'en ai assez que cette facette de moi ce sente mal et quel me le rappel haut et fort

Bisous Philippe
Jean-Claude

[Patrick]

Jean-Claude,
La première image illustre parfaitement ton poème. Beaucoup d'interprétation pour cette photo. Un homme prisonnier ? Quelle est cette prison ? La sienne ? Une prison mise en place par d'autres ?
Capturé par ses conditionnements, par ses désirs, par les illusions ?
Passes un bon Week-End,
Patrick

[Jean-Claude]

La je dirais qu'il s'agit plus d'une ancre une amarre qui me verrouille en un lieu ou je suis sans confort en moi.
Cette amarre est effectivement une forme de prison individuel qui me bloque, me rendant serviable et corvéable à souhait pour ceux qui savent en profité.

Je t'embrasse Patrick
Jean-Claude