Evocation à la vue d'une photo

                Une photo vue sur le site de Un jour, un homme m'évoque : le fantôme des douceurs, corps à corps, amour et acte d'amour passé, ce depuis des mois.

                Il m'arrive parfois de pensé que je passerais le reste de ma vie seul, sens plus sentir la douceur des caresses le long de mon corps. Sans sentir la joie de la complicité, des échanges avec l'autre amoureux, corps dénudé peau contre peau en de doux sommeil ou en étreintes amoureuse.

                Oui, il arrive parfois que je pense à cela, puis je me dit non cela est pas fini cela sera de nouveau. Mais quand cette état de pensé me vient, mon corps me fais encore plus mal que la fois précédente. J'aimerais nous offrir ce plaisir cette sensualité, et aussi que lui soit adjoins l'âme et le rayonnement de l'amour pour les étreintes comme en tout les instants d'une vie partagé.

                Cela peur venir aussi du faite que ces dernières semaine j'ai aperçus mon ex. et que ce lundi, je l'ai vue avec son nouveau compagnon vie. M'oui, pas très positif, mais je suis humain et j'ai envie de contact, d'amour, par le verbe et le geste, et, de beaucoup de douceur.

A Bientôt

Comments

[pegase49]

Bonjour JC

J'espere que tu vas bien,je viens faire un petit tour pas içi...

ça fait longtemps que je t'ai rendu visite

Dis toi bien qu'il ny a aucune raisons que tu ne trouve pas quelqun pour toi...il faut juste savoir s'en donner les moyens...

Mais tu le sais,tu as un travail à faire sur toi

Aller,porte toi bien JC

Bisous,Sébastien

[Jean-Claude]

Oui allez plus vers les autres, et me bougé.

Mais apparemment quelque choses a due changer dans mon attitude, car depuis j'ai remarqué un changement dans les gens avec qui je discute au magasin, entre autre ils sont plus avenant. Et
vendredi 12 un beau gars (que je connais pas) dans la rue quand j'allais d'urgence à la poste, m'a dit un bonjour avec un large sourire, je lui est répondue. Mais dommage que le temps m'était
compté à ce moment là.

Bisous
Jean-Claude

[patrice]

comme c'est dur à croir,mais le vie n'est pas fini,il y a toujours de l'espoir là ou l'on ne s'y attend pas.....crois moi JC
bisous
patrice

[Jean-Claude]

Oui je crois en cela Patrice, mais ce temps intermédiaire, lui est guère apprécier par le corps qui se languis attendant les caresses de l'être aimé,
non encore rencontrés.

Bisous
Jean-Claude

[Ondine]

Ton écrit me touche tant...Je ne sais pas si je rencontrerai un jour l'Amour...mais son manque fait souffrir mon âme et mon corps...
Je t'embrasse fort Jean-Claude
Ondine

[Jean-Claude]

La beauté de l'amour, un jour t'effleureras, puis embrasera ton être entier, l'emmenant au firmament de ton âme.

Oui, un jour cela sera avec l'être qui t'attend.

Je t'embrasse
Jean-Claude

[Patrick]

Salut Jean-Claude,
Un petit coucou avant de prendre le TGV tout à l'heure pour notre voyage de 2 mois.
Oui. Lorsque le corps se fait douloureux à force d'abstinence. Lorsque les sentiments s'étiolent à force de résitence. Tant qu'il y a encore de la vie, rien n'est fini. Tout peut arriver.
L'aimé arrive un peu comme une surprise, sans attente, sans prévenir. L'aimé revient d'un long voyage. Il suffit de vivre sans l'attendre, sans espérer, et là il vient. Je sais que c'est plus
facile de l'écrire, que de le vivre. Pour que l'aimé puisse venir dans notre vie, il faut qu'il y ait de la place. De la place dans sa tête. Lorsque notre tête est remplie de crainte, de timidité,
comment peut-il nous rencontrer alors que nous sommes une multitude dans notre tête...
Bisous Jean-Claude et à bientôt...

[Jean-Claude]

Bien à toi, Patrick,

En premier lieu, je te souhaite à toi et à André un merveilleux voyage remplie de rencontre et de découverte.

Mon corps et ses tensions son l'écho de ce qui absent. Ma vie, elle est emplie pour le moment : de mouvement, de gesticulation. Par mon travail, mais aussi avec Sylvie et son mal être suite à la
séparation, et, quelque sortie. Dés lors je pense pas vraiment à cela. Sauf certain soir au moment du couché, avec la fatigue de la journée, étant seul et plus fragile, une impression de solitude
et d'être abandonné m'envahie.

Certes ma timidité et certaine crainte, son tel un frein à mes mouvements, un mur de cristal qui me sépare des autres. Ce qui est curieux quand même c'est cette impression de sérénité de calme en
étant speed qui persiste en moi....

Allez je t'embrasse Patrick
à bientôt

[Serge]

I m'arrive de penser celà aussin de plus en plus, que c'est fini, mais j'ai perdu tellement de temps, que je me demande si cela à commencer un jour !.
Bisous,
Serge.

[Jean-Claude]

Le temps n'a pas été perdu, puisse qu'il a et est toujours été occupé à autre choses.

Et comme dit mon ami Patrick, on est vivant. Dés lors tout peut toujours arrivé, demain est une surprise.

Bisous
Jean-Claude